Si tu es élu, tu t’es déjà retrouvé à jouer la carte du sang-froid… tout en ayant l’impression de marcher nu sur une scène. 

Tu connais ce double jeu : afficher la maîtrise, tout en encaissant silencieusement la peur d’être jugé — par les administrés, tes pairs, et parfois même ta propre équipe. Cette pression invisible vient grignoter la confiance, brouiller la prise de décision et te gâcher, au passage, pas mal de plaisir dans l’action publique.

La peur du jugement : le grand classique… mais pas une fatalité

Oui, la peur du regard des autres ne fait pas de distinction : rookie ou vétéran, maire de village ou élu d’agglo, personne n’y échappe. Être observé, évalué, disséqué… fait partie du deal, même si tu ne l’avais pas lu dans la fiche de poste. Et c’est logique : la mairie ou le conseil ne sont pas des laboratoires secrets, mais des arènes publiques, où chaque mot peut devenir une citation, chaque hésitation, une faille à exploiter.

Parlons juste : la peur du jugement, ce n’est pas de la timidité. C’est cette angoisse viscérale d’être démasqué, critiqué, ou jugé “pas à la hauteur”, qui vient souvent rafraîchir la prise de parole, influencer un choix politique ou freiner l’audace dans la résolution d’un conflit.

Où la peur du regard des autres s’invite-t-elle chez toi ?

Un peu comme le syndrome de l’imposteur en vie politique, ce parfum de jugement plane partout dans la vie d’élu… mais voici quelques contextes où il s’épaissit sérieusement :

• À l’heure de trancher une décision, tu t’entends demander intérieurement : “Si je fais ce choix, que va-t-on penser ? Et si je me plante ? Est-ce que j’ai vraiment ma place ici ?”

• En réunion, surtout face à une salle pleine, des partenaires externes ou ton équipe, la peur de te tromper ou d’être perçu comme “pas assez pro” te pousse parfois à t’effacer plutôt qu’à affirmer ta position.

• En intervention publique — débats, discours, conférences — tu sais que tout le monde a son avis prêt à dégainer, que la critique peut être frontale… voire la moquerie assumée. Et là, la peur de “mal paraître” devient géante, pile au moment où tu aurais besoin d’être à 100%.

Une belle manière d’alourdir la charge mentale chez une personnalité politique ! Bonne nouvelle : tu peux apprendre à le repérer, et surtout, à ne plus le laisser piloter ta trajectoire. Tu veux incarner ton rôle d’élu avec plus de justesse et de liberté ? Commence par accepter que tu n’as rien à prouver à tout le monde… et que prendre ta place, c’est déjà un acte courageux.

D’où vient cette foutue peur de mal faire, de mal paraître ?

Personne n’y échappe vraiment, surtout pas quand t’es élu. Tu veux bien faire, tu bosses à fond – et pourtant, ce doute revient sans cesse gratter : “Et si ça ne passait pas ? Et si je me plantais, là, devant tout le monde ?” 

Ce sentiment, il ne tombe pas du ciel. Il puise dans tes propres histoires. Les critiques encaissées gamin, les remarques qui piquent en réunion, les yeux rivés sur toi à la moindre prise de parole.

Et ça, rajoute la machine politique, la pression des administrés qui attendent tout, tout de suite, la peur d’une humiliation publique en live ou d’un post assassin qui tourne sur les réseaux… Forcément, la peur de la moindre fausse note s’invite et s’incruste.

Tu te retrouves rapidement à marcher sur des œufs, à remettre en question la légitimité de chaque choix, à surveiller la moindre intonation. Ça bombe le torse devant la mairie, mais à l’intérieur, ça cogite : “Si je fais un faux pas, qu’est-ce qu’on va dire de moi ?” 

Spoiler : comme tous les grands leaders, tu ne feras jamais l’unanimité – et c’est normal.

Comment foutre la paix à ton mental (et surmonter la peur du regard des autres)

Le vrai switch, il commence là : t’autoriser à incarner ton mandat pour de vrai, pas pour la galerie.

• Repense tes schémas à la racine

Regarde en face comment le besoin d’être aimé, validé, compris te freine. Mets des mots dessus, c’est déjà allumer la lumière dans la pièce.

• Oublie la perfection

Tu veux être bon ? Ça passe par apprendre à dire non, mais aussi accepter d’être imparfait – et de te donner le droit à l’erreur. Les leaders qui marquent sont ceux qui savent tomber et se relever.

• Raccroche-toi à tes vraies convictions

Arrête de chercher à plaire à tout prix. Quand tu te rappelles pourquoi tu es là, ce que tu veux défendre, tu retrouves une boussole intérieure. Et la tempête autour fera beaucoup moins vaciller.

• Entoure-toi vraiment

Les vrais alliés, c’est ceux à qui tu n’as pas peur de demander un feedback qui secoue, mais qui construit. Sors du solo : partage tes revers ET tes victoires avec un cercle de confiance. Tu veux des retours francs ? Crée-les.

• Passe à l’action avec des outils concret

Ce sont des choses que je propose à travers le coaching mental. Pleine conscience pour apprendre à respirer, PNL et visualisation pour te projeter au bon endroit, pyramide de DILTS pour cibler tes vrais freins. Etc !

Ce n’est pas que du blabla théorique : ces outils, testés sur le terrain politique, font la différence quand tu veux — vraiment — arrêter de trembler pour le regard des autres.

Tu veux sortir du mode “caméléon”, prendre le risque d’assumer ta posture (même si ça pique), et mettre de la clarté dans ta façon d’être élu ? Le moment de tourner la page, c’est souvent celui où tu en as ras-la-casquette de faire semblant.

Le programme Élu Aligné, c’est ça : un espace où tu peux déposer le masque, tester de nouvelles postures, et envoyer valser la peur du jugement. Prends ta place : non pas pour rentrer dans le moule, mais pour incarner pleinement ta mission.

Réserve ta séance découverte offerte – ose passer de l’élu qui doute à l’élu aligné, celui qui inspire parce qu’il s’engage, même quand tous les regards se tournent vers lui.